1er album Silent Walk
Disponible chez Fo Féo Productions / Universal Music
+ PREMIERE PARTIE
LE LUNDI 27/11/2017 À 19H30
Samuel Strouk propose un jazz atmosphérique singulier et prégnant, où la rigueur de l'écriture et de l'interprétation font bon ménage avec l'incertitude de l'improvisation, et où la notion rythmique se réinvente entre swing et rubato.
L'album intitulé Silent Walk, empreint d'un grand lyrisme et d'une sensibilité à fleur de peau, a été confectionné par Samuel Strouk, à la manière d'un peintre, ou d'un cinéaste, avec un sens inné de la narration. Cela aboutit à un projet musical inclassable, qui ne ressemble à rien de connu.
Avec Silent Walk, Samuel Strouk défriche tout en finesse un monde sonore aux mille reflets aux lisières du jazz, du classique, de la world, et de la musique contemporaine, à découvrir avec le premier extrait Lands.
Samuel Strouk, de plus en plus implanté dans le monde du jazz, est aussi depuis cinq saisons, le directeur artistique et le programmateur du festival de jazz de Maisons-Laffitte qui a lieu tous les ans au mois de juin. Il était donc temps que ce brillant diplômé en guitare classique et en musique de chambre, enregistre enfin un disque sous son nom, en tant que leader, guitariste, et compositeur, proposant un jazz atmosphérique singulier et prégnant, où la rigueur de l’écriture et de l’interprétation font bon ménage avec l’incertitude de l’improvisation, et où la notion rythmique se réinvente entre swing et rubato.
L’album intitulé « Silent Walk », empreint d’un grand lyrisme et d’une sensibilité à fleur de peau, a été confectionné par Samuel Strouk, à la manière d’un peintre, ou d’un cinéaste, avec un sens inné de la narration. Cela aboutit à un projet musical inclassable, qui ne ressemble à rien de connu, et qui rendrait fou de jalousie Manfred Eicher (le patron du label Ecm) par le soin apporté à l’architecture sonore et à la gestion de l’espace, du temps, et du silence…..
Cinq instruments fortement empreints de lyrisme, aux sonorités graves et feutrées, qui proposent une riche palette de timbres et de couleurs, où mélodies, harmonies et rythmes s’interpénètrent avec bonheur au service d’une musique habitée, dense, et contrastée. La musique de « Silent Walk » exprime l’idée d’un voyage intérieur où l’on perçoit des images mentales, comme si l’on assistait à la projection d’un film imaginaire, et puis cette « Marche Silencieuse » évoque aussi une revendication du mélange de genres. Il s’agit de tracer une troisième voie entre le monde de la musique classique et celui du jazz.